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Jean-Claude SEIGNOL
9 mars 2009

Raison.... révolutionnaire

« Le 19 janvier 1794 eut lieu une fête de la Raison, où fut mise à l’honneur une femme au destin quasi symbolique : Catherine TACHON. Née dans une communauté agricole familiale à ST RIRAND en 1700, elle vécut sa jeunesse dans la vallée de la Tâche, eut 12 enfants, avant de connaître une vieillesse exaltée dans le bourg de Renaison, où les esprits s’échauffaient aux idées nouvelles.

A 94 ans, elle présida les fêtes révolutionnaires comme déesse de la Raison et reçut de la Convention Nationale, une pension exceptionnelle de 500 livres. Les obscurs laboureurs des montagnes deviennent ainsi les premiers courtisans de la République.

Aujourd’hui, les descendants de Catherine TACHON sont près de 2000 dans le Roannais.

Quelques jours plus tard, Marguerite EPINAT, une mystique, une béate, qui n’avait vécu qu’à l’ombre de la vieille église de Renaison, dans la piété et la charité, était arrêtée comme contre-révolutionnaire : elle décéda à son domicile deux jours après son arrestation, le 23 janvier 1794.

Sa renommée posthume témoigna du scandale de cette mort. »

Extrait de « La Côte Roannaise – Topo-guide de randonnées

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